#PrayforPeace



Parce que je ne sais pas quoi dire, que je n'ai pas envie de parler.

Parce que vous n'êtes peut-être pas tous croyants.

Parce que la première chose que j'ai faite samedi, c'est demander à mon mari de mettre un bon coup de rock.

Parce que je remercie ceux qui ont soignés, protégés les victimes, qui repoussent les terroristes.

Parce que je crois à la force de la solidarité.

Parce que les deux premières réactions de mes proches habitant à Paris ont été : "Où je peux donner mon sang ?" et "Il faudra beaucoup d'amour".

Parce que ça ne concerne pas que Paris mais aussi Moscou,  Beyrouth,  Ankara...

Parce que cette chanson est la preuve que la tristesse n'a pas de frontière, pas d'époque. Elle a été composée par un poète allemand qui a perdu un ami pendant les guerres napoléoniennes... et elle a été chantée des deux côtés du Rhin.

A tous ceux qui ont perdu un frère.




Et parce que je crois qu'il faut avancer, ensemble, sans demander à l'autre sa carte de parti ni sa religion mais juste considérer ses actes :

stelda

8 commentaires:

  1. Et parce qu'il faut vivre, encore et toujours, peut-être même plus fort qu'avant. #PrayForPeace

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  2. Ce commentaire a été supprimé par l'auteur.

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  3. Pas de mots, de l'incompréhension, de la tristesse, de la colère aussi. Bises

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  4. Vivre, vivre, vivre, il n'y a que ça qui compte aujourd'hui.
    Prends soin de toi Stelda.
    Je t'embrasse,

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  5. Depuis vendredi, les parisiens sont résilients, bien déterminés à ne pas se laisser gagner par la psychose, plus attentifs les uns aux autres, - je dirai - presque tendres!

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  6. Personnellement très émue à re-entendre cette chanson allemande (c'est la partie germanique des matchingpoints qui parle) qui traduit si bien la tristesse...

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